À LA TÉLÉVISION

Samedi 11 Novembre

♦ Canal+ Family à 11 h 15 : Ma vie de Courgette de Claude Barras (2016) – Film d’animation 
Icare, que tout le monde appelle « Courgette », est placé dans un foyer pour enfants. Le petit garçon s’y fait des amis, qui ont tous connu comme lui une enfance difficile. L’arrivée de Camille chamboule une fois de plus la vie d u foyer. La petite fille, malicieuse, ne laisse pas Courgette indifférent, même s’il n’ose pas tout de suite l’avouer…Ce film d’animation très touchant, à fleur de peau, sur un sujet a priori assez difficile, est loin des clichés habituels et laisse entrevoir avec beaucoup de finesse les émotions, les liens qui se tissent, et les histoires cabossées de ces enfants. À voir et à revoir !

 

Lundi 11 Novembre

♦ Altice Studio à 0 h 00 : Va, vis et deviens de Radu Mihaileanu (2005) – Film – avec Yaël Abecassis, Roschdy Zern, Moshe Agazai et Moshe Abebe.

Une mère chrétienne pousse son fils de neuf ans à se déclarer juif pour le sauver de la famine et de la mort. L’enfant arrive en Terre Sainte. Déclaré orphelin, il est adopté par une famille française sépharade vivant à Tel-Aviv. Il grandit avec la peur que l’on découvre son double-secret et mensonge : ni juif, ni orphelin, seulement noir. Il découvrira l’amour, la culture occidentale, la judaïté mais également le racisme et la guerre dans les territoires occupés.

Mercredi 15 Novembre

♦ Canal+ à 8 h 35 : Ma vie de Courgette de Claude Barras (2016) – Film d’animation – Voir programme du 11 novembre

Vendredi 17 Novembre

Ciné+ Emotion à 20  h 45  : Les bêtises d’Alice et Rose Philippon (2015) – Comédie – avec Jérémie Elkaïm, Jonathan Lambert
François, trentenaire gauche et lunaire, découvre enfin l’identité de sa mère de naissance. Pour la rencontrer, il « s’invite » à la fête familiale donnée dans la villa de cette dernière. Les gags et les quiproquos, parfois franchement lourds, se succèdent jusqu’à ce que la vérité éclate : une occasion, pour cette famille, de livrer les autres secrets qui l’entourent et, pour François, de choisir de « tracer sa route ». Inutile de s’attacher à pointer les invraisemblances, elles sont nombreuses : ce film est avant tout une comédie plutôt sympathique qui, à l’évidence, ne cherche pas à être réaliste. Donnant son titre au film, l’interprétation maladroite de la chanson « Les bêtises », reprise en chœur par les convives de la fête en délire, est probablement la scène la plus touchante où François peut enfin s’adresser à sa mère : Je fais rien que des bêtises quand t’es pas là  !